Dans le matin tôt levé le chien devant lui Pascal part en silence dans les marais les bois et les taillis chercher des faisans des lièvres ou la bécasse.

Je le suis craignant d’avoir à prendre la Grande Allée. J’ai douze ans.

Nous reviendrons ayant vu des oiseaux trempé nos bottes dans la tourbe accroché nos vestes aux ronces sereins et sûrs de posséder le monde qui ne se réveillera que dans un instant.

Mais c’est lui ce monde qui me possède et m’a fait un peu comme il a tant fait mon oncle ma tante et mes cousins Pascal et Fabien.